Titre professionnel
Responsable de petites ou moyennes structures (TP RPMS)

niveau de diplôme

5 (Bac +2)

Durée de la formation

10 mois à temps complet

Rythme d'alternance

2 jours en formation
3 jours en entreprise
(en fonction du lieu de formation)

Volume horaire

476h en centre de formation
dont 56h de FOAD
(en fonction du lieu de formation)

Code RNCP : 38575
Nom du certificateur : Ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion
Date d’échéance de l’enregistrement : 08/02/2024
Date de publication au JO : 08/02/2007

Date de mise à jour : 08/11/2024

Objectifs de formation

Le TP Responsable de Petite ou Moyenne Structure (RPMS) permet d’acquérir des compétences professionnelles spécifiques et favorise l’accès à l’emploi ou l’évolution professionnelle de son(sa) titulaire. Il atteste que ce(tte) dernier(ère) maîtrise les compétences, aptitudes et connaissances permettant l’exercice du métier de responsable de petite ou moyenne structure. 

Le(a) responsable de petite ou moyenne structure dirige et gère une entreprise, un établissement ou une association de moins de 50 salarié(e)s, dans ses dimensions stratégiques humaines, commerciales, productives, financières, administratives et sociétales. Il(elle) en organise le fonctionnement conformément aux objectifs fixés d’une part, et dans le respect d’un cadre réglementaire, spécifique le cas échéant, d’autre part. Il(elle) traduit les orientations stratégiques en objectifs opérationnels.

73 %

Taux de réussite* pour
la promotion
de 2022-2023

Le pourcentage du taux de réussite est le ratio entre les candidat(e)s reçu(e)s et le total de candidat(e)s présenté(e)s.

compétences acquises - TP RPMS

Diriger une structure avec une équipe :

  • Développer une vision systémique de la structure dans son environnement
  • Inscrire la structure dans son territoire
  • Manager et animer une équipe

Mettre en œuvre l’objet social de la structure :

  • Adapter l’offre de la structure à la demande
  • Organiser et développer la diffusion de l’offre
  • Organiser la production

Établir et présenter un rapport d’éctivité de la structure :

  • Analyser le bilan de la structure
  • Analyser le compte de résultat de la structure
  • Rédiger le rapport d’activité de la structure

Modalités d'évaluation

Possibilité de valider un ou plusieurs blocs de compétences, nous contacter.

lieux de formation

EMS Côte d'Opale

FORMAPI Auxerre

FORMAPI Lyon

FORMAPI Villefranche-Beaujolais

Le Puy Foot

FORMOPOST

Site de Cognac

JDA Formation by FORMAPI

FORMAPI Chalon-sur-Saône

FORMAPI Nevers

PERF FORM

SELFORME Cholet

Chartres SELFORME Formation

FORMAPI Bourg-en-Bresse

Site IFRABB

FORMAPI Mâcon

Site du Creusot

Breizh Campus Formation

Site de Ploemeur

Site de Lorient

CFA Omnisports

Center Business School

Site d'Angoulême

Site de Niort

Site de Chateauroux

Site d'Orléans

Site de Ballan-Miré

Solutions Clubs Pro

Site de Caen

Site de Lavallois

Site d'Ajaccio

Site d'Angers

Site du Mans

Site de l'ESTAC Troyes

Site du FC Fleury

liens utiles

Pour plus d’informations concernant le diplôme d’Etat : 

Foire aux questions

Un titre professionnel de niveau 5 correspond à une qualification reconnue par l’État en France, qui atteste de la maîtrise de compétences professionnelles spécifiques dans un domaine donné. Voici les caractéristiques principales de ce type de titre :

  1. Niveau de qualification : Un titre professionnel de niveau 5 équivaut à un diplôme de niveau Bac +2, comme un BTS ou un BUT. Il atteste de compétences spécialisées et d’une certaine autonomie dans la réalisation de tâches professionnelles.

  2. Objectifs : Ce titre vise à préparer les individus à occuper des postes de technicien(ne)s ou de cadres intermédiaires dans divers secteurs d’activité. Les titulaires de ce titre sont capables de gérer des projets, de superviser des équipes et de contribuer de manière significative au fonctionnement d’une entreprise.

  3. Compétences acquises : Les programmes menant à un titre professionnel de niveau 5 sont conçus pour développer des compétences techniques et théoriques spécifiques à un métier. Cela inclut des compétences en gestion, en communication, en technologie, ainsi que des compétences pratiques liées à l’industrie ou au secteur concerné.

  4. Reconnaissance et accréditation : Les titres professionnels sont délivrés par le Ministère du Travail et sont inscrits au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP). Cette reconnaissance garantit que le titre est reconnu par l’État et par les employeurs.

  5. Formation et évaluation : Pour obtenir un titre professionnel de niveau 5, les candidat(e)s doivent suivre une formation spécifique, souvent composée de cours théoriques et pratiques. L’évaluation se fait généralement par le biais d’examens, de mises en situation professionnelles et de la présentation d’un dossier professionnel ou d’un projet.

  6. Accès à l’amploi : Les titulaires d’un titre professionnel de niveau 5 sont souvent très recherché(e)s sur le marché du travail. Il(elle)s peuvent accéder à des postes variés tels que technicien(ne) supérieur(e), assistant(e) de gestion, responsable de production ou encore chargé(e) de projet, selon le domaine de spécialisation du titre.

En résumé, un titre professionnel de niveau 5 est une qualification de niveau intermédiaire qui combine des compétences techniques, théoriques et pratiques, reconnue et appréciée par les employeurs pour sa capacité à préparer les individus à des rôles techniques et de supervision dans divers secteurs professionnels.

Il n’existe pas de diplôme unique requis pour devenir chef(fe) d’entreprise, mais certaines formations peuvent grandement faciliter l’acquisition des compétences nécessaires pour gérer une entreprise. Voici quelques diplômes et parcours éducatifs couramment recommandés pour celleux qui souhaitent devenir chef(fe) d’entreprise :

BTS :

  • BTS Gestion de la PME (anciennement BTS Assistant de Gestion PME-PMI)
  • BTS Commerce International
  • BTS Négociation et Digitalisation de la Relation Client (NDRC)
  •  

BUT :

  • BUT Gestion des Entreprises et des Administrations (GEA)
  • BUT Techniques de Commercialisation (TC)
  •  

Licence professionnelle :

  • Licence professionnelle en Management des Organisations
  • Licence professionnelle en Commerce et Distribution
  •  

Bachelor :

  • Bachelor en Management
  • Bachelor en Entrepreneuriat
  •  

Master :

  • Master en Management des PME-PMI
  • Master en Entrepreneuriat et Innovation
  • Master en Administration des Affaires (MBA)
  • Master en Commerce et Management International
  •  
Formations spécifiques
  1. Écoles de commerce :

    • Programmes généralistes en gestion, finance, marketing, et ressources humaines.
    • Spécialisations en entrepreneuriat et création d’entreprise.
  2. Formations en alternance :

    • Combinant théorie et pratique en entreprise, permettant de gagner de l’expérience tout en étudiant.
 
Formation continue et certifications
  1. Certifications professionnelles :

    • Cours spécifiques en ligne (MOOCs) sur des plateformes comme Coursera, edX, Udemy.
    • Certifications en gestion de projet, finance d’entreprise, marketing digital, etc.
  2. Formations professionnelles et séminaires :

    • Offerts par des chambres de commerce, des associations professionnelles et des organismes de formation continue.

 

Outre les diplômes, l’expérience pratique est cruciale. De nombreux chef(fe)s d’entreprise acquièrent une expérience significative en travaillant dans leur domaine avant de lancer leur propre entreprise. Les stages, apprentissages et emplois dans des postes de responsabilité peuvent offrir une compréhension précieuse du fonctionnement interne des entreprises.

Bien que certains diplômes et formations puissent offrir une base solide en gestion et en administration, il est également important de cultiver des compétences pratiques et d’acquérir de l’expérience sur le terrain.

Un titre professionnel est une certification délivrée par le ministère du Travail en France, qui valide les compétences et les connaissances nécessaires pour exercer un métier spécifique. Les titres professionnels sont reconnus par l’État et enregistrés au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP). Ils peuvent être comparés à d’autres types de certifications et diplômes professionnels en termes de reconnaissance et de niveau de qualification.

Équivalents des titres professionnels
  1. Certificat d’Aptitude Professionnelle (CAP) : C’est un diplôme de niveau 3 délivré par le ministère de l’Éducation nationale, qui prépare à un métier précis et comprend une formation théorique et pratique.

  2. Brevet d’Études Professionnelles (BEP) : C’est un diplôme de niveau 3 qui valide une formation professionnelle initiale et prépare à une insertion directe dans le monde du travail.

  3. Baccalauréat Professionnel : C’est un diplôme de niveau 4  délivré par le ministère de l’Éducation nationale, qui prépare à des métiers qualifiés et permet une insertion professionnelle ou la poursuite d’études.

  4. Brevet de Technicien Supérieur (BTS) : C’est un diplôme de niveau 5 délivré par le ministère de l’Éducation nationale, qui prépare à des métiers techniques et de gestion, et peut être obtenu en alternance ou en formation initiale.

  5. Bachelor Universitaire de Technologie (BUT) : C’est un diplôme de niveau 6 délivré par les Instituts Universitaires de Technologie (IUT) et qui permet de se former à des métiers techniques et professionnels.

 
Formations et certifications professionnelles continues
  1. Certificats de Qualification Professionnelle (CQP) :

    • Délivrés par les branches professionnelles, ces certificats valident les compétences spécifiques à un métier donné et sont reconnus par les entreprises de la branche concernée.
  2. VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) :

    • Permet d’obtenir tout ou partie d’un titre professionnel, diplôme ou certificat, sur la base de l’expérience professionnelle acquise.
  3. MOOCs et certifications en ligne :

    • Offerts par des plateformes d’apprentissage en ligne comme Coursera, edX, Udemy, ils permettent d’acquérir des compétences spécifiques et peuvent être reconnus par les employeurs.


Les titres professionnels peuvent être comparés à des diplômes comme le CAP, le BEP, le baccalauréat professionnel, le BUT et le BTS en termes de reconnaissance et de niveau de qualification. Ils constituent une voie de certification flexible et adaptée aux besoins du marché du travail, offrant une reconnaissance officielle des compétences acquises.

Le salaire d’un(e) responsable de petite ou moyenne structure peut varier en fonction de plusieurs facteurs, notamment la taille de l’entreprise, le secteur d’activité, la localisation géographique et l’expérience du(de la) candidat(e). En général, voici quelques éléments à considérer pour évaluer cette rémunération :

  1. Taille de l’entreprise : Les petites entreprises ont généralement des budgets plus restreints que les moyennes structures, ce qui peut influencer les salaires proposés.

  2. Secteur d’activité : Certains secteurs d’activité, comme la technologie, la finance ou l’industrie pharmaceutique, peuvent offrir des salaires plus élevés comparés à d’autres secteurs comme le commerce de détail ou l’hôtellerie.

  3. Localisation géographique : Le coût de la vie et le niveau de salaires moyens dans une région influencent aussi la rémunération. Par exemple, les salaires sont souvent plus élevés dans les grandes villes comme Paris par rapport à d’autres régions.

  4. Expérience et qualifications : L’expérience du(de la) responsable et ses qualifications (diplômes, certifications, compétences spécifiques) jouent un rôle crucial dans la détermination du salaire.

En France, le salaire annuel brut d’un(e) responsable de petite structure peut se situer entre 35 000 et 50 000€, tandis qu’un(e) responsable de moyenne structure peut percevoir entre 45 000 et 70 000€. Ces chiffres sont des estimations générales et peuvent varier considérablement en fonction des facteurs mentionnés ci-dessus.

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