Elle nous rejoint : Stéphanie MARQUET

Depuis le 8 juillet dernier, Stéphanie MARQUET a rejoint SELFORME. Plus précisément le service « contrats » sous la houlette de Théodora DUMARTHERAY et aux côtés de ses collègues Fatiha, Nadia, Inès ou encore Maria. Un monde nouveau pour elle.
En effet, Stéphanie était plutôt destinée à une carrière disons plus nature.

« J’ai passé un Baccalauréat paysagiste, un BTS agro-alimentaire et un Titre Professionnel Horticulture, » confie-t-elle.

Photographie de Stéphanie MARQUET dans un bureau, en train de travailler sur son ordinateur.

Un cursus qui l’a amenée… à 14 ans de commerce en guise de débuts professionnels.

« J’ai travaillé dans différentes marques de la grande distribution – Leclerc, Intermarché, Super U – mais aussi chez Gamm Vert Botanique. »

Quid alors de la rencontre avec SELFORME ?

« Cela s’est fait en deux temps, explique Stéphanie. Vanessa GARNIER est ma cousine, et m’avait déjà alertée sur des recrutements chez FORMAPI en 2021. J’avais postulé sans être retenue. J’ai postulé à nouveau il y a quelques semaines pour SELFORME cette fois, car je voulais vraiment travailler dans les métiers administratifs et plus dans le commerce. Et cette fois j’ai été choisie ! »

Une plongée dans une nouvelle aventure donc.

« Ah ça c’est sûr, sourit-elle. Au départ, il a fallu me familiariser avec l’organisation de SELFORME, le monde de la formation, les branches territoriales, les acronymes, les exigences de l’apprentissage… Mais finalement, je me suis vite adaptée, grâce à un vrai esprit d’équipe de la part de mes collègues. Ça me change de ma dernière expérience dans la grande distribution ! »

À son aise à SELFORME, Stéphanie MARQUET l’est aussi en-dehors. Et pour cause, à 34 ans, elle nourrit une passion dévorante : la photographie animalière… plus précisément la photographie d’animaux sauvages.

« Cela fait bien 15 ans que ça m’a pris. Au début, je photographiais mes poissons d’intérieur (rires), puis mon chien, ensuite les oiseaux… Et désormais, cela fait partie de mon quotidien. Dès que l’on peut avec mon compagnon, de mars à octobre, les soirs, les week-ends, nous partons avec tout le matériel nécessaire pour faire des images. On se camoufle sur des spots à nous, on attend et on observe. En Côte d’Or, dans le Jura… J’en suis à plus de 10 000 clichés désormais. On peut voir nos photographies, dans des expositions, des catalogues, des magazines, également sur notre page Facebook et même nous en acheter. »

Avec un grand projet à venir : une expédition en 2026 en Norvège pour photographier les orques… Ah la nature, quand tu nous tiens !

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